À peine deux heures s’étaient écoulées depuis l’annonce des résultats. Déjà, Iouri Nabokov franchissait les portes du Kremlin. Le poids de la victoire semblait encore flotter autour de lui, mais il savait que ce n’était qu’un début. Il avançait dans les couloirs, chaque pas le rapprochant du Roi Vladimir Ier. C’est à lui qu’il devait présenter la coalition forgée avec les Sociaux-Démocrates, une alliance destinée à donner à la Sévéroslavie une majorité stable et la force de se réformer.
Autour de lui, ses proches collaborateurs murmuraient que le peuple sévéroslave avait choisi son camp, lui confiant son avenir. Nabokov apparaissait déterminé : le salaire minimum, la sécurité sociale, le Code pénal… toutes ces réformes devaient devenir réalité. Lorsqu’il pénétra dans le bureau royal, l’histoire semblait s’écrire sous ses yeux. Il exposa la coalition, demanda la nomination. Le Roi écouta, jaugea, puis acquiesça. À cet instant, chacun comprit que le destin de la Sévéroslavie venait de basculer.
Deux heures après la victoire, Nabokov n’était plus seulement le Secrétaire Général du Parti Merksiste-Luniniste. Il devenait officiellement Premier Ministre, porteur d’un projet pour un pays en quête de stabilité et de grandeur.
Autour de lui, ses proches collaborateurs murmuraient que le peuple sévéroslave avait choisi son camp, lui confiant son avenir. Nabokov apparaissait déterminé : le salaire minimum, la sécurité sociale, le Code pénal… toutes ces réformes devaient devenir réalité. Lorsqu’il pénétra dans le bureau royal, l’histoire semblait s’écrire sous ses yeux. Il exposa la coalition, demanda la nomination. Le Roi écouta, jaugea, puis acquiesça. À cet instant, chacun comprit que le destin de la Sévéroslavie venait de basculer.
Deux heures après la victoire, Nabokov n’était plus seulement le Secrétaire Général du Parti Merksiste-Luniniste. Il devenait officiellement Premier Ministre, porteur d’un projet pour un pays en quête de stabilité et de grandeur.


