
Lundi 1er décembre 2025
Interview du Premier Ministre Iouri Nabokov
Entretien exclusif avec Iouri Nabokov, Secrétaire Général du Parti Merksiste-Luniniste et nouveau Premier Ministre de Sévéroslavie
Journaliste : Monsieur Nabokov, tout d’abord, félicitations pour cette victoire historique. Que représente pour vous ce succès aux premières élections législatives de Sévéroslavie ?
Iouri Nabokov : Merci. C’est une victoire du peuple sévéroslave, avant tout. Les citoyens ont exprimé leur confiance dans notre projet de bâtir un État fort, juste et moderne. Nous avons désormais la responsabilité de transformer cette confiance en actes concrets.
Journaliste : Vous avez annoncé plusieurs grandes réformes. Pouvez-vous nous en dire davantage ?
Iouri Nabokov : Oui. Notre priorité est de donner à chaque Sévéroslave les bases d’une vie digne. Cela passe par l’instauration d’un salaire minimum, afin que le travail soit toujours synonyme de sécurité et non de précarité. Nous allons également mettre en place une sécurité sociale universelle, pour que chacun ait accès aux soins et à la protection en cas de difficulté. Enfin, nous allons instaurer un Code pénal clair et moderne, qui fixera les règles de justice et de responsabilité dans notre pays.
Journaliste : Vous avez conclu une alliance avec les Sociaux-Démocrates. Comment voyez-vous cette coopération ?
Iouri Nabokov : C’est une alliance pragmatique et nécessaire. Nos deux partis partagent une vision commune : celle d’un État qui protège ses citoyens et qui organise la société autour de la solidarité. Bien sûr, nous avons des différences, mais elles sont complémentaires. Ensemble, nous formons une majorité stable à la Rada, capable de mener les réformes dont la Sévéroslavie a besoin.
Journaliste : Et concernant l’opposition ?
Iouri Nabokov : L’opposition a un rôle à jouer, mais soyons francs : certaines formations sont totalement discréditées. Le Parti Républicain et le Front National des Patriotes n’ont pas seulement échoué à convaincre, ils ont démontré leur incapacité à proposer la moindre vision constructive pour la Sévéroslavie. Ce sont des partis de façade, qui se nourrissent de slogans creux et de nostalgie stérile. Leur rhétorique conservatrice et nationaliste n’apporte rien au débat public, sinon la division et l’illusion. Avec moins de 5 % des voix chacun, ils ne représentent qu’une minorité bruyante, sans légitimité réelle. La Sévéroslavie n’a pas besoin de ces reliques politiques : elle a besoin de réformes, de courage et d’un projet tourné vers l’avenir.
En revanche, je tiens à dire que l’Union des Libéraux et le Parti Agrarien sont des forces d’opposition sérieuses. Nous ne partageons pas toujours la même vision, mais leurs propositions peuvent enrichir le débat parlementaire. Je respecte leur volonté de défendre leurs électeurs, et je suis convaincu que sur certains dossiers – notamment économiques et sociaux – nous pourrons trouver des terrains d’entente. La Sévéroslavie a besoin de pluralisme, et je souhaite que ces partis participent activement aux réformes à venir.
Journaliste : Un dernier mot pour les Sévéroslaves ?
Iouri Nabokov : Je leur dis ceci : nous entrons ensemble dans une nouvelle ère. Les sacrifices seront nécessaires, mais ils seront partagés équitablement. Notre objectif est simple : une Sévéroslavie forte, solidaire et respectée.
Journaliste : Monsieur Nabokov, tout d’abord, félicitations pour cette victoire historique. Que représente pour vous ce succès aux premières élections législatives de Sévéroslavie ?
Iouri Nabokov : Merci. C’est une victoire du peuple sévéroslave, avant tout. Les citoyens ont exprimé leur confiance dans notre projet de bâtir un État fort, juste et moderne. Nous avons désormais la responsabilité de transformer cette confiance en actes concrets.
Journaliste : Vous avez annoncé plusieurs grandes réformes. Pouvez-vous nous en dire davantage ?
Iouri Nabokov : Oui. Notre priorité est de donner à chaque Sévéroslave les bases d’une vie digne. Cela passe par l’instauration d’un salaire minimum, afin que le travail soit toujours synonyme de sécurité et non de précarité. Nous allons également mettre en place une sécurité sociale universelle, pour que chacun ait accès aux soins et à la protection en cas de difficulté. Enfin, nous allons instaurer un Code pénal clair et moderne, qui fixera les règles de justice et de responsabilité dans notre pays.
Journaliste : Vous avez conclu une alliance avec les Sociaux-Démocrates. Comment voyez-vous cette coopération ?
Iouri Nabokov : C’est une alliance pragmatique et nécessaire. Nos deux partis partagent une vision commune : celle d’un État qui protège ses citoyens et qui organise la société autour de la solidarité. Bien sûr, nous avons des différences, mais elles sont complémentaires. Ensemble, nous formons une majorité stable à la Rada, capable de mener les réformes dont la Sévéroslavie a besoin.
Journaliste : Et concernant l’opposition ?
Iouri Nabokov : L’opposition a un rôle à jouer, mais soyons francs : certaines formations sont totalement discréditées. Le Parti Républicain et le Front National des Patriotes n’ont pas seulement échoué à convaincre, ils ont démontré leur incapacité à proposer la moindre vision constructive pour la Sévéroslavie. Ce sont des partis de façade, qui se nourrissent de slogans creux et de nostalgie stérile. Leur rhétorique conservatrice et nationaliste n’apporte rien au débat public, sinon la division et l’illusion. Avec moins de 5 % des voix chacun, ils ne représentent qu’une minorité bruyante, sans légitimité réelle. La Sévéroslavie n’a pas besoin de ces reliques politiques : elle a besoin de réformes, de courage et d’un projet tourné vers l’avenir.
En revanche, je tiens à dire que l’Union des Libéraux et le Parti Agrarien sont des forces d’opposition sérieuses. Nous ne partageons pas toujours la même vision, mais leurs propositions peuvent enrichir le débat parlementaire. Je respecte leur volonté de défendre leurs électeurs, et je suis convaincu que sur certains dossiers – notamment économiques et sociaux – nous pourrons trouver des terrains d’entente. La Sévéroslavie a besoin de pluralisme, et je souhaite que ces partis participent activement aux réformes à venir.
Journaliste : Un dernier mot pour les Sévéroslaves ?
Iouri Nabokov : Je leur dis ceci : nous entrons ensemble dans une nouvelle ère. Les sacrifices seront nécessaires, mais ils seront partagés équitablement. Notre objectif est simple : une Sévéroslavie forte, solidaire et respectée.

