
Le Premier Ministre Iouri Nabokov et le Ministre de l’Intérieur et de la Défense Viktor Sokolov se sont rendus aujourd’hui à Drozny, endeuillée par les inondations meurtrières de la veille. Dès leur arrivée, ils ont marché en silence dans les rues dévastées, où l’eau a laissé derrière elle des maisons éventrées et des visages marqués par la douleur. Sur la place centrale, Nabokov s’est incliné devant les familles des victimes, déclarant que "chaque vie perdue est une blessure au cœur de la nation".
Le Ministre Sokolov a pris la main d’un enfant rescapé, symbole de l’espoir fragile qui subsiste au milieu du chaos. Il a assuré que toutes les forces de secours resteraient mobilisées jusqu’à ce que chaque habitant soit en sécurité et que la ville retrouve un semblant de stabilité.
La délégation a visité un centre d’accueil improvisé, où des dizaines de familles se sont réfugiées. Les mots du Premier Ministre, empreints de compassion, ont apporté un réconfort : il a promis un soutien immédiat, des logements provisoires et une aide psychologique pour les survivants.
En fin de journée, Nabokov et Sokolov ont tenu une conférence de presse, la voix parfois brisée par l’émotion. Ils ont affirmé que Drozny ne serait pas laissée seule face à cette tragédie, et que la solidarité nationale serait à la hauteur de la douleur vécue. Lors de la conférence de presse, il avait annoncé un nouveau bilan, plus lourd que la veille : 85 morts et encore 40 disparus.
Le Ministre Sokolov a pris la main d’un enfant rescapé, symbole de l’espoir fragile qui subsiste au milieu du chaos. Il a assuré que toutes les forces de secours resteraient mobilisées jusqu’à ce que chaque habitant soit en sécurité et que la ville retrouve un semblant de stabilité.
La délégation a visité un centre d’accueil improvisé, où des dizaines de familles se sont réfugiées. Les mots du Premier Ministre, empreints de compassion, ont apporté un réconfort : il a promis un soutien immédiat, des logements provisoires et une aide psychologique pour les survivants.
En fin de journée, Nabokov et Sokolov ont tenu une conférence de presse, la voix parfois brisée par l’émotion. Ils ont affirmé que Drozny ne serait pas laissée seule face à cette tragédie, et que la solidarité nationale serait à la hauteur de la douleur vécue. Lors de la conférence de presse, il avait annoncé un nouveau bilan, plus lourd que la veille : 85 morts et encore 40 disparus.

